Lucie B :
1) – Cherches-tu à transmettre des messages, des valeurs ?
2) – Les technos dont tu parles dans tes aventures sont-elles réelles ou de pure fiction ? On sait que les technos innovantes mettent de nombreuses années à sortir à la vue du public.
1) Non. Je dois le faire de temps en temps malgré moi. Mais ce n’est pas mon but premier. Peut-être un peu plus dans le Tome 3, oui… à bien y réfléchir. En tout cas, quand je décide d’écrire une histoire je ne me dis pas : « tu vas faire passer ça ». En revanche, l’histoire me conduit parfois à découvrir et à exprimer des pensées qui viennent à moi. Un peu comme si je m’enrichissais de l’expérience de mes personnages. Hein ?, oui, je sais, c’est ouf !
2) Elles ne sont pas réelles au moment où j’écris, mais je suis rattrapé par la réalité. Les vidéo-plaques sont devenues les tablettes tactiles qui n’existaient pas quand j’écrivais Il sera… Tome 1. Je finis vite de te répondre avant que les céphs n’existent !
Luc F :
J’ai vu sur le net qu’Amazon est en train de tester la livraison de colis par des drones en 30 minutes… Cela m’a rappelé une scène d’Il sera (2 je crois) où Madame Polikant se fait livrer quelque chose (je ne sais plus quoi, j’avoue) par drone sur le toit de son immeuble et ensuite un système lui achemine jusque dans son appartement. C’est marrant…
J’ai lu l’information également, en effet ! La scène que vous évoquez se passe bien dans le tome 2. Madame Polikant se fait livrer un vêtement qu’elle a commandé pour son C12. L’objet est bien livré par drone sur le toit de son immeuble puis c’est un système pneumatique qui l’apporte dans son appartement.
Quand je vous disais que le futur me rattrape à grands pas… ! 😉